TL;DR

  • Le mythe d’émergence hopi raconte l’ascension depuis des mondes souterrains jusqu’à l’actuel Quatrième Monde, guidée par la Grand-mère Araignée et délimitée par Masau’u (seigneur de la mort/de la terre). Attestations principales : Voth 1905 ; Stephen→Mindeleff ; Lockett 1933. Voir les sources avec URL complètes ci‑dessous.
  • Sipapu = l’ouverture entre les mondes ; littérale dans les kivas et rituelle dans les rites de Wuwuchim (Nouveau Feu) qui commémorent l’émergence. (Lockett 1933 — Gutenberg)
  • Thèse EToC (v3) : « les femmes ont découvert le “je” en premier puis ont enseigné aux hommes la vie intérieure » et les cultes/initiations du serpent ont servi d’échafaudage à la récursivité et à l’identité. (Vectors of Mind, 2024)
  • Lire la Grand-mère Araignée (Kookyangwso’wuuti) / Hard-Being Woman (Húruing Wuhti) comme Ève mémétique ; Masau’u comme le seuil qui impose la mort/renaissance rituelle ; les migrations comme exploration/exploitation culturelle le long d’un gradient de sélection.
  • La technologie du rhombhe (bullroarer), attestée chez les Hopi, marque acoustiquement le vent/le tonnerre du monde souterrain ; c’est un fil initiatique paléolithique plausible que la théorie EToC attend. (Objet du Met : The Met — Bullroarer)

« Out of the sipapu we all came … and back to the underworld, through the sipapu, we shall go when we die. »
— Hattie Greene Lockett, The Unwritten Literature of the Hopi (1933), §IX (“The Emergence Myth and the Wu‑wu‑che‑ma Ceremony”). Gutenberg — Lockett 1933


Ce que dit réellement le mythe d’émergence hopi (d’après les sources primaires)#

Version courte, débarrassée du vernis New Age :

  • Premiers récits ethnographiques clairs. Les récits sacrés collectés par Alexander M. Stephen (fin XIXe s.) sont résumés par Cosmos Mindeleff et réimprimés chez Lockett (1933) : l’humanité commence « dans l’obscurité et l’humidité » ; un roseau/canne magique perce des plafonds successifs entre les mondes ; le chant est l’opérateur créateur ; l’ascension vers le Quatrième Monde laisse beaucoup de monde derrière lorsque le chant cesse ; le sipapu est instancié rituellement comme le trou dans le sol de la kiva et constitue la voie à la fois de l’émergence et du retour. Texte intégral : https://www.gutenberg.org/files/15888/15888-h/15888-h.htm

  • La Grand-mère Araignée / Hard-Being Woman crée et enseigne. Dans le récit d’Oraibi de Voth (1905), Húruing Wuhti et la Femme Araignée façonnent des êtres d’argile, enseignent la langue/l’écriture et les envoient vivre ; une phrase pertinente pour EToC : « The deity of the east made of clay first a woman and then a man. » (Traditions of the Hopi, ch. 1). https://sacred-texts.com/nam/hopi/toth/toth002.htm

  • Masau’u (Masauwu) comme propriétaire de la surface et du dessous. Truth of a Hopi d’Edmund Nequatewa, auteur hopi, le présente clairement : « Masauwu owns all the Hopi world, the surface of the earth and the Underworld », il assiste au Wuwuchim et terrifie les non préparés. https://sacred-texts.com/nam/hopi/toah/toah23.htm

  • Wuwuchim (Nouveau Feu) rejoue l’émergence chaque mois de novembre ; le chant ouvre la voie, un feu nouveau est allumé, et le symbolisme du sipapu est explicite ; le §IX de Lockett en donne la description concise la plus claire avec renvois à Stephen/Voth. Gutenberg — Lockett 1933

  • Maïs et humilité. L’enseignement traditionnel hopi insiste sur le choix de la petite épi de maïs bleu — le chemin difficile de l’humilité et de l’endurance — lorsque Masau’u offre d’autres options ; voir la présentation du Hopi Cultural Preservation Office et les synthèses sélectionnées : NAU — page Hopi CPO (consulté le 10‑08‑2025). Pour un récit de niveau muséal, voir l’explication du NMAI Magazine : NMAI — Masau’u and the ears of corn (consulté le 10‑08‑2025).

  • Migrations et marques. Après l’émergence, les clans errent dans de longues migrations, marquant leur passage par des symboles de clan et des spirales (le « tourbillon de migration ») ; cela est visible à Tutuveni (plus de 5 000 glyphes de clan) et dans les contextes South Mountain/Hohokam étudiés comme proto‑hopi. Présentation CyArk : CyArk — Hopi Petroglyph Sites ; Archaeology Southwest (PDF) : Archaeology Southwest — Hopi migrations ; résumé sur Tutuveni : Wikipedia — Tutuveni

  • Sipapuni comme lieu. Beaucoup de Hopi situent le lieu terrestre de l’émergence (Sipapuni) dans les gorges de la Little Colorado River, au sein du paysage culturel du Grand Canyon. Voix communautaire en contexte : article explicatif du Grand Canyon Trust (Toba Nuvahungwungwa, 2022) : https://www.grandcanyontrust.org/blog/holy-site-hopi

Notes sur les sources. Book of the Hopi de Frank Waters (1963) a popularisé des noms comme Taiowa (créateur) et Sotuknang, et les quatre mondes détruits par le feu/la glace/le déluge ; il est influent mais de seconde main et contesté par certains Hopi ; on peut l’utiliser, mais en donnant la priorité aux sources plus anciennes/tribales. Notice d’archive : https://archive.org/details/bookofhopi0000fran


Lire le mythe avec EToC (sans l’aplatir)#

La thèse centrale d’EToC : « les femmes ont découvert le “je” en premier puis ont enseigné aux hommes la vie intérieure » ; des initiations liées au serpent ont servi d’échafaudage à la récursivité ; la culture a ensuite sélectionné les esprits capables de participer à cet espace symbolique récursif. Essai complet : https://www.vectorsofmind.com/p/eve-theory-of-consciousness-v3

Le mythe d’émergence hopi, tel qu’il est réellement attesté, s’y superpose proprement sans forçage :

  1. Création/intellection à codage féminin → Ève mémétique. La Femme Araignée/Húruing Wuhti créent, enseignent la langue et accompagnent l’émergence. Qu’une femme précède l’homme chez Voth est… très explicite. (Traditions of the Hopi, 1905 : https://sacred-texts.com/nam/hopi/toth/toth002.htm)

  2. Sipapu et kiva → canal de naissance rituel (naissance mémétique). Un trou littéral dans le sol de la kiva représente le col utérin cosmique entre les mondes ; chaque année, Wuwuchim le rouvre par le chant et le feu. (Lockett 1933 : https://www.gutenberg.org/files/15888/15888-h/15888-h.htm)

  3. Masau’u → gardien du seuil de la mort/renaissance. Propriétaire de la surface et du dessous, présent au Wuwuchim, masque effrayant, feu : c’est la logique initiatique — tu meurs ici avant de vivre là‑haut. (Nequatewa 1942 : https://sacred-texts.com/nam/hopi/toah/toah23.htm)

  4. Chant → clé de récursivité. Stephen→Lockett insistent sur le fait que le chant est l’opérateur créateur ; lorsque le chant s’arrête, plus personne ne peut émerger. C’est la récursivité comme porte : participer ou rester en dessous. (https://www.gutenberg.org/files/15888/15888-h/15888-h.htm)

  5. Petite épi de maïs → gradient de sélection. Choisir le mode difficile (petite épi) encode endurance, retenue, coopération — des traits qui, selon EToC, sont favorisés une fois qu’une culture récursive existe. (Hopi Cultural Preservation Office : https://jan.ucc.nau.edu/hcpo-p/traditions_and_culture/)

  6. Migrations → exploration/exploitation de l’espace mémétique. Les clans errent, marquent des glyphes de clan, et convergent finalement vers Hopituskwa ; dans le cadre d’EToC, c’est la recherche culturelle qui entraîne les gènes derrière elle. (PDF Archaeology Southwest : https://www.archaeologysouthwest.org/pdf/arch-sw-v18-no1.pdf ; Tutuveni : https://en.wikipedia.org/wiki/Tutuveni)

  7. Rhombhe (bullroarer) → fil initiatique paléolithique. Des rhombhes hopi existent (objet du Met : https://www.metmuseum.org/art/collection/search/502863). La thèse de diffusion paléolithique du rhombhe dans EToC est un tissu conjonctif plausible entre l’acoustémologie initiatique et le « vent du monde souterrain ». (Synthèse de fond : https://en.wikisource.org/wiki/Custom_and_Myth/The_Bull-Roarer)


Un schéma pratique (motifs mythiques ⇄ constructions EToC)#

Motif hopi (bref résumé)Première attestation netteConstruction EToCPourquoi ça correspond
La Femme Araignée / Húruing Wuhti crée et enseigneVoth 1905, ch.1 — https://sacred-texts.com/nam/hopi/toth/toth002.htmÈve mémétiquePorteuse de culture à codage féminin qui accouche de la vie consciente ; crée explicitement la femme en premier.
Sipapu (ouverture de kiva ; route des âmes)Stephen→Mindeleff→Lockett 1933 — https://www.gutenberg.org/files/15888/15888-h/15888-h.htmCanal de naissance du soi/de la récursivitéRejoué chaque année ; passage vers/depuis le monde souterrain symbolique.
Wuwuchim (Nouveau Feu ; hymne d’émergence)Lockett 1933 — même URLInitiation (mort→renaissance)Nouveau feu + re‑chant de la Création = installation du « je » récursif chez les néophytes.
Masau’u (seigneur de la surface/du monde souterrain)Nequatewa 1942 — https://sacred-texts.com/nam/hopi/toah/toah23.htmGardien du seuilFait respecter le prix d’entrée dans le Quatrième Monde : mortalité, humilité.
Petite épi de maïs choisieSynthèse du Hopi CPO — https://jan.ucc.nau.edu/hcpo-p/traditions_and_culture/Gradient de sélectionEncode un phénotype prosocial, à gratification différée, favorisé par la culture récursive.
Migrations de clans et glyphesArchaeology Southwest 2004 — https://www.archaeologysouthwest.org/pdf/arch-sw-v18-no1.pdf ; Tutuveni — https://en.wikipedia.org/wiki/TutuveniDiffusion culturelleLes mèmes se déplacent ; les gènes suivent. Les marques (glyphes/spirales) sont des miettes de pain.
Rhombhe (voix du vent/tonnerre)Objet du Met — https://www.metmuseum.org/art/collection/search/502863Technologie initiatiqueInstrument rituel global correspondant à l’appareil initiatique paléolithique d’EToC.

Provenance et correspondances terminologiques (ne pas confondre les sources)#

Figure/termeForme(s) en langue hopiFonctionPremière attestation/publicationNotes
Grand-mère AraignéeKookyangwso’wuuti / Kóhk’ang WuhtiPorteuse de culture, guideVoth 1905 — https://sacred-texts.com/nam/hopi/toth/toth002.htmSouvent fusionnée/confondue avec Húruing Wuhti dans les récits populaires.
Húruing Wuhti« Hard-Being Woman »Propriétaire des biens durs ; créatriceVoth 1905 — même URLChez Voth, elle et la Femme Araignée créent toutes deux des êtres.
Masau’u (Masauwu)Maásaw, etc.Seigneur de la surface et du dessous ; mortNequatewa 1942 — https://sacred-texts.com/nam/hopi/toah/toah23.htmCentral pour Wuwuchim ; accorde la terre sous condition d’humilité.
Sipapu / Sipapunisipap(…) ; toponyme SipapuniOuverture/lieu d’émergenceLockett 1933 — https://www.gutenberg.org/files/15888/15888-h/15888-h.htm ; Grand Canyon Trust — https://www.grandcanyontrust.org/blog/holy-site-hopiTrou de kiva et lieu réel dans les gorges de la Little Colorado.
Taiowa / Sotuknang(usage populaire)Créateur/architecte (Book of the Hopi)Waters 1963 — https://archive.org/details/bookofhopi0000franNoms systématisés ; donner la priorité aux archives hopi/ethnographiques plus anciennes.

Stades du monde, logique rituelle et EToC#

Stade hopiBrève logique mythiqueCorrélat rituelLecture EToC
Mondes d’en basObscurité, humidité ; vie mal formée ; le chant fait croître le roseauKiva comme théâtre du monde souterrainVie pré‑récursive ; proto‑ego sans boucle réflexive.
ÉmergenceLe roseau/pin ouvre le toit ; le chant permet l’ascensionWuwuchim re‑chante la création ; Nouveau FeuInstalle pour la première fois le symbole récursif « je » chez les initiés.
Quatrième MondeGérance sous Masau’u ; choix de la petite épi de maïsHumilité quotidienne ; agriculture comme liturgieLa culture sélectionne des esprits tempérés, coopératifs, récursifs.
MigrationsErrance avec marques de clan ; convergence vers les mesasPèlerinage ; pétroglyphesExploration/exploitation du paysage mémétique ; les marques = mémoire durable.

Où EToC s’insère — et où il ne faut pas la surajuster#

  • Correspondance directe : La sage‑femme féminine de la culture, le canal ritualisé (sipapu), le seuil de la mort et la discipline de l’humilité — tout cela compose un ensemble initiatique canonique. EToC prédit exactement ce type de paquet : naissance féminine du je, puis mort/renaissance à codage masculin sous la surveillance d’un seigneur chthonien. https://www.vectorsofmind.com/p/eve-theory-of-consciousness-v3

  • Plausibilité du rhombhe : L’existence de l’instrument chez les Hopi est un fait (objet du Met), et son empreinte paléolithique globale est suffisamment robuste pour étayer une technologie initiatique de longue durée sur laquelle EToC s’appuie. Artefact : https://www.metmuseum.org/art/collection/search/502863 ; essai de synthèse : https://en.wikisource.org/wiki/Custom_and_Myth/The_Bull-Roarer

  • Mises en garde : Les tropes des « Ant People » et les syncrétismes tardifs sont sur‑cuisinés en ligne ; s’en tenir à Stephen/Voth/Nequatewa/Lockett et aux synthèses du Hopi CPO pour l’ossature. Waters (1963) est utile mais ne doit pas primer sur les témoignages hopi ou les notes de terrain plus anciennes.


Un alignement EToC plus serré (mécanique)#

  1. Le chant comme opérateur = récursivité. Le mythe dit que la création/l’émergence fonctionne tant que le chant est chanté. C’est l’algorithme : un processus symbolique partagé, itéré, qui permet le passage vers le haut. https://www.gutenberg.org/files/15888/15888-h/15888-h.htm

  2. Phases genrées. Phase Ève (enseignement, façonnage de la parole, accompagnement par la Femme Araignée/Húruing) → phase Masau’u (acceptation du coût — mortalité, humilité). Le « les femmes ont découvert le “je” en premier… » d’EToC est un parallèle explicite. https://www.vectorsofmind.com/p/eve-theory-of-consciousness-v3

  3. Gradient de sélection dans le maïs. Choisir le petit maïs bleu = embrasser la rareté, la patience, la coopération — des traits qui ne paient que dans une culture récursive, dense en normes. https://jan.ucc.nau.edu/hcpo-p/traditions_and_culture/

  4. Architecture de la mémoire. Glyphes de clan, spirales, plans de kiva, dispositions d’autels = mémoire externalisée, corrigée des erreurs — exactement ce qu’on attendrait pour que la récursivité survive aux goulets d’étranglement. CyArk : https://www.cyark.org/projects/hopi-petroglyph-sites/in-depth


FAQ#

Q1. Le mythe hopi est‑il une « preuve » d’EToC ?
R. C’est une structure convergente, pas une preuve : la sage‑femme féminine de la parole/du soi, la mort/renaissance rituelle et la mémoire des migrations s’alignent toutes sur les prédictions d’EToC — mais la causalité reste interprétative. Voir les sources ci‑dessus.

Q2. Où se trouve le sipapu dans la pratique vécue ?
R. Dans le sol de la kiva (rituel) et à Sipapuni (paysage) dans les gorges de la Little Colorado, selon les récits hopi et leurs partenaires de conservation. https://www.gutenberg.org/files/15888/15888-h/15888-h.htm ; https://www.grandcanyontrust.org/blog/holy-site-hopi

Q3. Les Hopi utilisent‑ils des rhombhes, ou est‑ce importé ?
R. Attesté comme culture matérielle hopi (objet du XIXe s. ; Met Museum). Son rôle sonore (vent/tonnerre) s’accorde avec les logiques pueblo de production de pluie. https://www.metmuseum.org/art/collection/search/502863

Q4. Taiowa/Sotuknang sont‑ils « traditionnels » ?
R. Ils sont largement connus via Waters (1963), qui compile des informateurs hopi mais est contesté ; les notes de terrain plus anciennes et les sources hopi mettent au premier plan la Femme Araignée/Húruing et Masau’u. https://archive.org/details/bookofhopi0000fran

Q5. Quelle est la version en une phrase de la thèse EToC ?
R. Le mythe hopi encode une naissance féminine de la récursivité suivie d’une initiation à la mortalité gardée par les hommes, avec le maïs et la migration qui disciplinent le nouvel esprit vers l’humilité et la persistance.


Notes de bas de page#


Sources#

Sources primaires / ethnographie ancienne et auteurs hopi

  1. Voth, H. R. The Traditions of the Hopi. Field Columbian Museum Anthropological Series, 1905. Mythe des origines ch.1 : https://sacred-texts.com/nam/hopi/toth/toth002.htm
  2. Nequatewa, Edmund. Truth of a Hopi. 1942. « Dr. Fewkes and Masauwu » : https://sacred-texts.com/nam/hopi/toah/toah23.htm
  3. Lockett, Hattie Greene. The Unwritten Literature of the Hopi. Univ. of Arizona Bulletin, 1933 (résumés Stephen → Mindeleff de l’émergence, Wuwuchim, sipapu) : https://www.gutenberg.org/files/15888/15888-h/15888-h.htm
  4. Fewkes, J. Walter. « Tusayan Migration Traditions. » BAE 19th Annual Report, 1901–02. PDF Smithsonian : https://repository.si.edu/bitstream/handle/10088/91695/Tusayan%20Migration%20Traditions.pdf

Institutions hopi et synthèses sélectionnées

  1. Hopi Cultural Preservation Office. « Traditional Knowledge—Hopi History & Culture. » https://jan.ucc.nau.edu/hcpo-p/traditions_and_culture/ (consulté le 10‑08‑2025).
  2. Grand Canyon Trust. « The Holy Site of the Hopi. » https://www.grandcanyontrust.org/blog/holy-site-hopi

Culture matérielle et art rupestre

  1. The Metropolitan Museum of Art. « Bullroarer (Hopi), 19th c. » https://www.metmuseum.org/art/collection/search/502863
  2. CyArk. « Hopi Petroglyph Sites—In Depth. » https://www.cyark.org/projects/hopi-petroglyph-sites/in-depth
  3. Archaeology Southwest. « Footprints of the Ancestors: Tracking Hopi Migrations » (Vol. 18, No. 1). PDF : https://www.archaeologysouthwest.org/pdf/arch-sw-v18-no1.pdf
  4. Tutuveni (aperçu ; glyphes de clan). https://en.wikipedia.org/wiki/Tutuveni

Synthèse populaire (à utiliser avec prudence, en notant les débats)

  1. Waters, Frank. Book of the Hopi. 1963. Notice d’archive : https://archive.org/details/bookofhopi0000fran

Comparaison / contexte sur le rhombhe

  1. Lang, Andrew. « The Bull-Roarer. » In Custom and Myth (domaine public). https://en.wikisource.org/wiki/Custom_and_Myth/The_Bull-Roarer

EToC

  1. Cutler, Andrew. « Eve Theory of Consciousness v3.0. » Vectors of Mind (2024). https://www.vectorsofmind.com/p/eve-theory-of-consciousness-v3